Bienvenu à « La minute de Clarisse »!
Quand le grand patron m’a demandé de préparer ma chronique sur Noëlla Ndaya, je me suis dit: « oh la la, ça va être compliqué… très compliqué même! » Parce que pour moi, c’était la toute première fois d’entendre parler de ce nom! Puis, je me suis quand même décidée d’aller voir sur Net: Auteur-compositeur, parolier, scénariste, interprète, entrepreneur… Noëlla Ndaya est une artiste dotée de multiples talents! Puis je me suis quand même posé la question: qu’est-ce qu’elle ne sait pas faire, cette femme? Née en République Démocratique du Congo, elle quitte sa terre natale à l’âge de 20 ans pour s’installer en Belgique où elle démarre une nouvelle vie!
Sa musique est au carrefour de plusieurs styles musicaux, une mixture des cultures permettant à chacun de reconnaître une partie de la sienne. Aaah ouais! Je peux vous rassurer, ce timbre de voix qui est sans rappeler celui de Tantine Abeti! Moi aussi je connais Tantine Abeti hein! Une personnalité trempée, pleine de grâce, d’aisance, Noëlla Ndaya s’implique dans différentes activités humanitaires. Des photos d’elle en route pour le prix Nobel du Docteur Mukwege et là, ça suscité encore plus ma curiosité et j’ai été « fouiner » d’avantage pour découvrir une femme non seulement pleine de grâce et d’aisance, mais aussi, une femme sensible pour la cause de l’Afrique. En octobre 2016, elle sort l’album intitulé « Liziba », qui veut dire « La source » en Lingala… la situation de la femme en général, le travail non rémunéré des hommes et des enfants qui meurent au fond des mines à l’Est du Congo y sont abordés.
La jolie phrase: « Sans engagement, vous ne commencerez jamais. Et sans régularité, vous ne finirez jamais » de Denzel Washington m’a beaucoup inspirée. Et je peux vous avouer un petit secret entre nous, je suis aussi fan de Denzel Washington.
C’était « La minute de Clarisse ». A très bientôt!