C’est la mise en perspective en 5 minutes d’un(e) citoyen(e) de la communauté africaine qui se valorise par son emploi ou tout autre activité justifiant ses revenus.
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C’est la mise en perspective en 5 minutes d’un(e) citoyen(e) de la communauté africaine qui se valorise par son emploi ou tout autre activité justifiant ses revenus.
Bienvenu à « La Minute de Clarisse »! Aujourd’hui, nous allons parlé d’un humaniste, un homme qui a le cœur sur la main. Gus Bina est un artiste musicien auteur-compositeur-interprète de la musique congolaise. Il ne pratique pas son art juste pour remplir ses poches mais bien pour une bonne cause. Par exemple, pour l’asbl Collectif drépanocytose, il participe aux collectes de fonds pour aider les personnes atteintes de la drépanocytose aussi appelée anémie falciforme ou encore SS. Vous qui aimez soutenir les œuvres caritatives, abonnez-vous sur la chaîne YouTube de Gus’What. Je ne sais pas si j’ai bien dit, mais voilà, Gus’What. C’était « La Minute de Clarisse », à très bientôt!
Michel Kazadi a fait ses études primaires au Collège Boboto de Kinshasa, secondaires à Wavre et universitaires à l’UCL.
Il commence sa carrière professionnelle dans la sécurité privée. Ensuite, Michel travaille dans le secteur informatique avant d’intégrer la fonction publique belge.
Au-delà de cela, Michel Kazadi a effectué des missions d’expertise pour le compte de l’OIM (Organisation Internationale pour les Migrations) et pour d’autres organismes privés en Afrique, principalement au Burundi, au Congo-Brazzaville, au Congo-Kinshasa et au Rwanda.
Membre fondateur du Collectif pour l’Emergence du Congo (COPEC), libre penseur, Michel Kazadi plaide pour un Congo soucieux du Congolais où qu’il soit dans le monde.
Bienvenu à « La Minute de Clarisse »! Aujourd’hui, nous allons parler d’une force tranquille, un artiste musicien, auteur-compositeur et interprète très discret mais qui a la vraie rumba congolaise dans l’âme. Don Fhédé nous plonge dans le bon vieux temps où la musique traditionnelle congolaise avait une autre dimension, de bonnes mélodies, mais également des textes qui parlent, nous permettant ainsi un moment de gaieté avec nos parents dans toute sa pudeur. Pour vous les amoureux de la bonne musique congolaise, je vous propose d’écouter « Monsieur Bio TV #hashtag Don Fhédé ». C’était « La Minute de Clarisse », à très bientôt.
D’origine congolaise, Dorah Ilunga est entrée en politique voici 20 ans déjà!
Elle intègre successivement le conseil spécial de l’aide sociale, puis le conseil communal et en 2004, Dorah devient la première femme d’origine africaine à intégrer un exécutif en Belgique.
Après avoir collaboré au sein du cabinet de la Ministre Laurette Onkelinx, Dorah Ilunga retrouve une seconde fois ses fonctions d’Echevine aux côtés du Bourgmestre de la commune bruxelloise de Saint-Josse, j’ai cité Emir Kir.
Dorah est notamment chargée de L’Emploi et la Formation, des Affaires Sociales et Santé, mais aussi du Tourisme, de la Coopération et des Relations Internationales.
Bonjour DJ Sénateur! Ici Marie de la chronique à #hashtag Marie détective de Radio Mbote. J’ai surfé sur le net, j’ai essayé de dégoter des informations sur vous et ça n’a pas vraiment été facile #hashtag détricoteuses! Il y a une chose que je n’ai pas vraiment comprise, c’est est-ce que vous êtes nigérien, malien ou ivoirien. Alors ce que moi j’ai trouvé en fait dans votre façon d’aborder les pays dans lesquels vous avez été, c’est que vous êtes un citoyen du monde et voilà, et ce qui compte, c’est là où vous êtes et vous vivez en fonction et alors vous chantez en Bambara, c’est la seule langue africaine que j’ai jamais parlé. Quand j’entends des mots que je comprends, je suis contente parce que sur Radio Mbote, je pense que vous êtes le premier que j’ai rencontré qui parle « Malinké ». Vous êtes danseur, donc j’ai vu que vers 15 ans là, vous saviez que vous alliez faire de la musique, que l’école c’était pas votre truc où en tout cas, vous aviez décidé que ça n’allait pas être votre truc et ça allait être la musique et la danse et que vous avez dû convaincre pour faire ce métier, donc je ne sais pas si vous avez déjà raconté à Jean-Jacques mais si vous l’avez pas fait, faite-le parce que j’ai beaucoup aimé cette partie de votre histoire où heu… ben on a enfin compris que c’était ce que vous deviez faire parce que c’est pour ça que vous êtes doué. Dans la première partie de la décennie 2000, vous aviez fait un projet qui s’appelait « Le Balani Show ». Pour tout vous dire, moi, c’est sur cette partie là de votre musique que j’ai complètement craqué. Que diriez-vous de revenir un petit peu au Balani Show, d’introduire du balafon pourquoi pas dans un peu de coupé décalé, je ne sais pas si ça marcherait, mais vous en pensez quoi? Allez! J’attends votre réponse!
Kelly Nkute est née à Lubumbashi en RD Congo.
Après ses Humanités Littéraires au Complexe scolaire Imani de Lubumbashi, elle décroche en 2004, un Graduat en Sciences de l’information et de la communication à l’IFASIC à Kinshasa.
En 2006, toujours à l’IFASIC, elle y obtient une Licence en Journalisme, option politique extérieure.
C’est en 2012 que Kelly Nkute décrochera sa spécialisation en droits économiques, sociaux et culturels au collège universitaire Henry Dunant à Genève.
Depuis janvier 2006, notre invitée à fait son entrée à Radio Okapi où elle est tour à tour: coordonnatrice, productrice, réalisatrice et présentatrice!
Bonjour Marshall Dixon, bienvenue dans la rubrique #hashtag Marie de Radio Mbote. Alors, pour moi c’était un plaisir de vous découvrir. Vous faites votre entrée dans le monde de la musique grâce à votre participation à la chorale de votre église. Vous n’avez que 13 ans. À 20 ans vous montez votre groupe KEEP QUIET et 5 ans plus tard, vous décidez #hashtag je me la joue solo. En écoutant les diverses interview de vous, j’ai constaté un trait de votre caractère qui est #hashtag je fonce, donc vous il faut que ça avance, il faut que ça bouge et il faut que vous vous frottiez aux plus grands, d’où alors que vous étiez débutant, une collaboration avec Werrason et une fois que vous avez lancé votre carrière solo, une collaboration avec Koffi Olomide et enfin, je veux dire #hashtag je ne me refuse rien et c’est très bien! C’est ce tempérament qui fait de vous un artiste qui a reçu un Award en RDC, le « Ndule Awards ». Venons-en à votre musique, j’ai adoré, j’ai aimé le fait que ça soit très cohérent, bien que vous abordiez, vous touchiez à pas mal de styles de musique différents: le zouk, la dancehall, hip hop, coupé décalé. Le thème récurrent de vos chansons c’est quand même les relations hommes/femmes, l’amour mais il y avait également donc le titre “Le peuple d’abord” qui là est une chanson un peu plus engagé enfin, c’est une chanson engagée, vous avez réussi à faire un titre à la fois engagée et dansant, alors là c’est Marie #hashtag détective qui va vous poser une petite question. Au début vous êtes très protecteur donc dans les textes « Amoureux Transi », « Tu as besoin de protection », « Je serai là »: heu c’est très ça va, un homme comme ton papa aimerais que tu aies et dans votre dernier single « Nitu » que vous faites en featuring avec Calèche, là vous avez une image des femme qui est un petit peu, enfin pas un petit peu, qui est négative. Je veux savoir ce qui s’est passé dans votre vie pour que vous ayez cette vision-là, cette évolution dans votre vision de la femme. #hashtag Marie, c’est terminé! #hashtag à très bientôt sur Radio Mbote.
Bienvenue à « La minute de Clarisse ». Aujourd’hui, nous allons parler d’une femme hors du commun, une maman de toutes une nations qui est appelée « peuple de Dieu ». Née à issue d’une famille d’artistes, maman Bijou Beyne Okito est une femme pasteur. Elle chante, compose et interprète la musique chrétienne. Sa voix nous rappelle notre inoubliable sœur Marie Misamu et moi personnellement, quand j’écoute ses chansons, ça m’amène toujours en présence de Dieu. Comme son nom l’indique, maman Bijou Beyne Okito est la cousine de la première miss Belgique noire qui est Laura Beyne et aussi la sœur biologique du patron de la Radio Mbote. Pour terminer ma chronique aujourd’hui, exceptionnellement, je vous fais une demande, celle d’écouter la chanson « Je veux être à toi ».
Noëlla Ndaya est l’aîné d’une grande famille.
Ses parents lui ont dit qu’elle est née un certain 24 décembre… à Kinshasa où elle a étudié jusqu’aux humanités.
Noëlla est arrivée en Belgique en 2000.
Après avoir vécu quelques années en Wallonie, elle aménage à Bruxelles pour poursuivre des cours et y décroche un bachelor en Management de Direction en 2005.
De 2006 à 2019, Noëlla Ndaya a entrepris une riche carrière professionnelle qui l’a vue tour à tour travailler chez Fedasil; à la commune de Schaerbeek dans le service de la petite enfance; chez Bpost Banque; chez BNP et pour terminer, elle voit aboutir son projet de crèche démarré en 2015.