C’est la mise en perspective en 5 minutes d’un(e) citoyen(e) de la communauté africaine qui se valorise par son emploi ou tout autre activité justifiant ses revenus.
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C’est la mise en perspective en 5 minutes d’un(e) citoyen(e) de la communauté africaine qui se valorise par son emploi ou tout autre activité justifiant ses revenus.
« Sous Le Baobab » est une émission qui propose un portrait d’artiste en visitant son univers artistique sous une forme totalement original.
A la fin de l’émission, Mr Maïsha propose un défit à l’invité du jour.
Par son métissage belgo-franco-congolais des deux rives du fleuve Congo, on parle d’elle notamment comme « la femme aux 4 drapeaux ». Emilie-Flore Faignond est une poétesse, écrivaine et auteure.
Elle est née à Kinshasa, en République Démocratique du Congo en juin 1948 de père franco-congolais de Brazzaville et de mère belgo-congolaise de Kinshasa. Elle est mère de 4 enfants et actuellement 6 fois grand-mère et vit depuis plusieurs décennies en Belgique, dans la petite ville de Soignies, en Région Wallonne.
Grande figure du paysage littéraire congolais depuis les années 90, son œuvre est variée et va du recueil de poèmes au roman autobiographique en passant par le conte et le récit de vie.
Inspirée par le verbe de sa grand-mère luba, le crédo qui accompagne son parcours est je cite: « Je parlerai de toi grand-mère, dans la langue de grand-père ». Elle magnifie donc Dame nature à travers ses écrits tout en maniant avec raffinement exquis la langue française, baignée dans une émotion à fleur de peau, et avec une âme d’enfant qu’elle revendique de vouloir garder.
Emilie-Flore est également mécène auprès des jeunes artistes, particulièrement auprès des écrivains, et c’est donc sans surprise que pour rendre hommage à son parcours littéraire inspirant et à sa personnalité, le collectif BOOKUTANI a créé le prix littéraire Emilie-Flore Faignond qui est décerné à de jeunes écrivains congolais.
De sa plume prolifique sont nés à ce jour 7 les bébés de l’esprit que vous découvrirez à travers cette émission. Ses œuvres sont largement intégrées dans les cours de Français en République Démocratique du Congo, et son nom demeure incontournable dans les évènements littéraires tant en France, en Belgique et dans les deux Congo bien entendu. Ce parcours est encensé par diverses récompenses littéraires qu’on ne saurait toutes vous citer dans cette présentation mais vous avez notamment en 2017, le trophée DUNIA qui lui fut décerné en tant qu’auteur-poète et écrivaine lors des African Awards.
Amis passionnés de littérature congolaise, voici celle que la plupart des écrivains congolais appellent affectueusement Maman Emilie-Flore!
C’est la mise en perspective en 5 minutes d’un(e) citoyen(e) de la communauté africaine qui se valorise par son emploi ou tout autre activité justifiant ses revenus.
C’est la mise en perspective en 5 minutes d’un(e) citoyen(e) de la communauté africaine qui se valorise par son emploi ou tout autre activité justifiant ses revenus.
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C’est la mise en perspective en 5 minutes d’un(e) citoyen(e) de la communauté africaine qui se valorise par son emploi ou tout autre activité justifiant ses revenus.
« Sous Le Baobab » est une émission qui propose un portrait d’artiste en visitant son univers artistique sous une forme totalement original.
A la fin de l’émission, Mr Maïsha propose un défit à l’invité du jour.
Figure de proue du panafricanisme au XXIe siècle, qualifié par les médias d’icône du radicalisme Noir dans la sphère francophone, Kemi Seba est le président de l’ONG « Urgences Panafricanistes », et l’initiateur du « Front Anti CFA ». Chroniqueur politique au sein de nombreuses TV et radios africaines, essayiste, il est le fondateur de la « Tribu KA ».
Formé de 2011 à 2015 en philosophie politique en tant qu’auditeur libre par le savant gabonais Grégoire Biyogo, Kemi Seba est l’un des conférenciers les plus prisés des universités africaines francophones.
Élu personnalité politique africaine de l’année 2017 par la chaîne Africanews, lauréat de la MJA intellect 2017, il décide en janvier 2018 de refuser le prix américain MIPAD (Most Influential People of African Descent) justifiant son choix par le fait de rappeler qu’on ne peut plus continuer à décerner des prix à des résistants africains pour une guerre qui est loin d’être terminée.
C’est la mise en perspective en 5 minutes d’un(e) citoyen(e) de la communauté africaine qui se valorise par son emploi ou tout autre activité justifiant ses revenus.